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Appel à propositions / Recherche
Du 26 mars 2020 au 7 septembre 2020
Cet appel à contributions lancé par LITEXTRA et ILCEA4 donnera lieu à un colloque organisé à Grenoble les 23 et 24 mars 2022.
Date limite d’envoi : 7 septembre 2020
La littérature de jeunesse de la fin du XXe et du début du XXIe siècle a été fortement bouleversée par les modifications environnementales ainsi que la prise de conscience de leur effet néfaste, et les thèmes qu’elle aborde le reflètent.
Notre colloque souhaite poursuivre cette réflexion en questionnant les représentations de l’écologie et du désastre écologique présent et futur dans la littérature de jeunesse, et en tissant des liens avec les recherches actuelles sur les relations entre la littérature et l’écologie (cf. Caterina Salabé 2013, Nicolò Scaffai 2017, Christian Chelebourg 2019). Ce thème, au centre également d’autres colloques qui auront lieu en 2020 (Université de Vienne, Université Clermont Auvergne), se situe à présent parmi les priorités sociales et politiques au niveau international (cf. Fridays for future, Division for Sustainable Development Goals in the United Nations Department of Economic and Social Affairs).
On distingue aujourd’hui de grandes tendances thématiques telles que la préservation de la nature grâce au recyclage, ou un message de respect envers elle, mais aussi la désignation de la pollution, de la déforestation ou de la catastrophe écologique.
Les œuvres pour la jeunesse se voient fréquemment assigner une finalité didactique et édifiante. Il n’est donc pas surprenant qu’elles soient utilisées pour véhiculer un message écologiste, manifestant ainsi une forme d’engagement. Cela implique nécessairement le déploiement de stratégies narratives et éditoriales diverses :
Celles-ci sont à envoyer avant le 7 septembre 2020 à chiara.ramerouniv-grenoble-alpes.fr (Subject: , body: ) (Chiara Ramero) et eleonore.cartellieruniv-grenoble-alpes.fr (Subject: , body: ) (Éléonore Cartellier).
Un retour sera donné courant décembre.
La littérature de jeunesse de la fin du XXe et du début du XXIe siècle a été fortement bouleversée par les modifications environnementales ainsi que la prise de conscience de leur effet néfaste, et les thèmes qu’elle aborde le reflètent.
Notre colloque souhaite poursuivre cette réflexion en questionnant les représentations de l’écologie et du désastre écologique présent et futur dans la littérature de jeunesse, et en tissant des liens avec les recherches actuelles sur les relations entre la littérature et l’écologie (cf. Caterina Salabé 2013, Nicolò Scaffai 2017, Christian Chelebourg 2019). Ce thème, au centre également d’autres colloques qui auront lieu en 2020 (Université de Vienne, Université Clermont Auvergne), se situe à présent parmi les priorités sociales et politiques au niveau international (cf. Fridays for future, Division for Sustainable Development Goals in the United Nations Department of Economic and Social Affairs).
On distingue aujourd’hui de grandes tendances thématiques telles que la préservation de la nature grâce au recyclage, ou un message de respect envers elle, mais aussi la désignation de la pollution, de la déforestation ou de la catastrophe écologique.
Les œuvres pour la jeunesse se voient fréquemment assigner une finalité didactique et édifiante. Il n’est donc pas surprenant qu’elles soient utilisées pour véhiculer un message écologiste, manifestant ainsi une forme d’engagement. Cela implique nécessairement le déploiement de stratégies narratives et éditoriales diverses :
- Retrouve-t-on dans ce corpus les genres favoris de la littérature engagée (voyages littéraires, science-fiction, contre-utopie…) ? Cette littérature a-t-elle donné naissance à de nouvelles formes littéraires ?
- Quelles formes la promotion de l’écocitoyenneté auprès des enfants adopte-t-elle ?
- N’y a-t-il pas ici instrumentalisation de la littérature ? Ne peut-on pas parler d’empowerment de l’enfant grâce à ces œuvres qui le placent souvent comme futur éducateur des adultes ? Quelle place leur est accordée dans les programmes et les pratiques scolaires ? Quelles perspectives didactiques peut-on dégager ?
- Cette littérature véhicule-t-elle l’inquiétude écologiste, le sentiment d’urgence, d’angoisse, de peur ? Ou préfère-t-elle un discours ludique considéré comme moins traumatisant ou plus persuasif ?
- Quelles articulations sont ménagées entre cette veine de la littérature engagée et les enjeux marketing et politiques ?
Modalités
Les propositions (titre, résumé de 2 000 caractères maximum, mots clés et références bibliographiques) seront accompagnées d’une brève biobibliographie de 1 500 caractères maximum comprenant statut, établissement et unité de recherche ainsi que les publications significatives.Celles-ci sont à envoyer avant le 7 septembre 2020 à chiara.ramerouniv-grenoble-alpes.fr (Subject: , body: ) (Chiara Ramero) et eleonore.cartellieruniv-grenoble-alpes.fr (Subject: , body: ) (Éléonore Cartellier).
Un retour sera donné courant décembre.
Date
Du 26 mars 2020 au 7 septembre 2020
Contacts
chiara.ramerouniv-grenoble-alpes.fr (Chiara Ramero)
eleonore.cartellieruniv-grenoble-alpes.fr (Éléonore Cartellier)
eleonore.cartellieruniv-grenoble-alpes.fr (Éléonore Cartellier)
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