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Séminaire / Doctorants et doctorantes, Recherche
Le 5 mars 2018
Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Les doctorant·e·s de l’UMR Litt&Arts invitent l’auteure et essayiste contemporaine Nathalie Quintane, quatre jours avant la sortie de son nouveau livre, pour une rencontre autour de la question de la langue comme travail insurrectionnel.
Le travail de l’écriture aide-t-il à mener à bien ce « changement d’atmosphère » politique que l’écrivaine Nathalie Quintane appelle de ses vœux ? En cherchant à produire un renouvellement des formes, en bouleversant les structures du langage académique, Nathalie Quintane invente une écriture qui n’est pas sans liens avec le « style insurrectionnel » théorisé par Guy Debord, ce « flux debordien » trop mélancolique dont elle interroge à plusieurs reprises l’efficacité dans ses textes. L’œuvre inclassable de Nathalie Quintane tente à son tour de penser la possibilité d’une littérature qui sorte des livres et qui bouscule ses lecteurs et lectrices. Dans quelle mesure la rupture des formes dans le langage permet-elle d’encourager l’émancipation politique ?
À l’occasion d’une nouvelle séance du séminaire Arts, savoirs, indisciplines, les doctorant·e·s de l’UMR Litt&Arts invitent l’auteure et essayiste contemporaine Nathalie Quintane, quatre jours avant la sortie de son nouveau livre, pour une rencontre autour de la question de la langue comme travail insurrectionnel. Cette rencontre sera nourrie de lectures de ses ouvrages Tomates (P.O.L, 2010) et Les Années 10 (La fabrique éditions, 2014), elle est ouverte à l’ensemble des personnes intéressées.
Date
17h30 - 19h30
Localisation
Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Petite salle des colloques
Bâtiment Stendhal (Bât. G, 4e ét.)
Contact
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