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Découvrez les deux projets en question :

> PATHELIN – (Ré)inventer la farce par la recherche-création
> SLAVI-CoLiber – Sous les Archives, la vie

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L'appel à projet de la SFR Création
Chaque année depuis 2014, la SFR Création lance un appel à projet pour soutenir la recherche en création. Ce dispositif est ouvert aux projets interdisciplinaires qui développent de nouvelles approches de recherche et/ou de formation par la recherche articulées autour des pratiques et processus de création pluridisciplinaires en arts, lettres, langues, sciences humaines, cognitives et sociales.

• En savoir plus sur Deux projets de Litt&Arts lauréats 2025 de la SFR Création

Le projet SLAVI-CoLiber se présente sous une double configuration : une étape de formation par la recherche à partir d’archives sur l’histoire de l’esclavage, « Sous les Archives, la vie : esclavage en Colombie, scène et voix pour la liberté », et une démarche de recherche-création qui donnera naissance à une petite forme théâtrale, « Sous les Archives de l’esclavage, la vie réparée ».

Le recours à des archives rares

La question de l’esclavage en Colombie a une place prépondérante. Aujourd’hui, les Afro-colombiens représentent près de 10% de la population (ILCEX 2018). Pourtant, ce n’est qu’au cours des années 1990 que des historiens se sont attelés à révéler le rôle clé de la traite Négrière, démarche prolongée par la diffusion des archives. C’est ainsi que la Universidad du Rosario, au passé esclavagiste, a ouvert ses archives à ses enseignant·es – dont l’anthropologue Bastien Bosa, membre de ce projet – pour des recherches sur les esclaves qui y ont travaillé.

Né de cette initiative, le projet SLAVI-CoLiber connaît une première étape, en 2023, autour des archives des XVII^e et XVIII^e siècles que l’équipe menée par Bastien Bosa a transcrites pour monter avec ses étudiant·es une exposition virtuelle. Puis il se poursuit à l’UGA sous la forme d’une performance en recherche-création intitulée « Le banquet-création : des portraits de l’esclavage en Colombie (XVII^e-XIX^e siècles) », qui sera présentée en décembre 2025 à la MaCI.

La mise en voix et en scène des archives

Constituant une nouvelle phase du projet initial, SLAVI-CoLiber / « Sous les Archives de l’esclavage, la vie réparée », a pour objectif la restitution des voix d’esclaves par le biais de la recherche-création, grâce à la collaboration entre les étudiant·es des masters « Études Hispaniques » et « Arts, lettres, civilisations » et la compagnie de théâtre professionnelle « Diookaju » (Colombie) qui travaillera à partir d'une anthologie de documents d’archives relatant la vie d’une trentaine d’esclaves parfois en voie d’être affranchis ou déjà libérés. 

Un chœur dialoguera avec les témoignages portés par les comédiens, en s’appuyant sur la thématique des plantes, en particulier médicinales, pour confronter les savoirs et les pratiques des esclaves aux enjeux coloniaux autour des ressources naturelles. Ce projet inédit rapproche ainsi l’histoire de l’esclavage et l’histoire des sciences avec la présence sur scène de la botanique, qui s’affirme comme science au XVIII^e siècle, époque où les premières voix s’élèvent pour dénoncer l’esclavage.

Cette œuvre intermédiaire, entre petite forme théâtrale et mise en voix performée, prendra forme lors d’une résidence de 5 jours à la MaCI en novembre 2025, et donnera lieu à un film documentant le processus complet ainsi qu’à une journée d’étude.

Article rédigé par Isabelle Krzywkowski

• En savoir plus sur SLAVI-CoLiber – Sous les Archives, la vie

Depuis quelques décennies, les artistes ont entrepris de redéfinir leur rapport aux œuvres théâtrales du passé (XVI^e-XVIII^e siècles), en refusant de se laisser enfermer dans une alternative, désormais obsolète, entre reconstitution archéologique des spectacles d’hier et actualisation, voire modernisation, des œuvres patrimoniales.

Ce projet entend inscrire la recherche grenobloise dans ce vif débat, en explorant, par la pratique, les voies qui s’ouvrent désormais à la création scénique « historiquement informée ». Si les classiques français sont souvent joués sur les scènes contemporaines, le corpus des textes dramatiques en français antérieurs au XVII^e siècle est largement délaissé par le spectacle vivant. C’est un théâtre qui constitue pourtant un élément essentiel de notre patrimoine, et un précieux réservoir de textes et de formes.

Résultat d’un travail commencé en 2023, ce projet prend la forme d’une recherche collective et pratique sur le corpus comique médiéval en général, et la Farce de Maître Pathelin en particulier, associant artistes, chercheur·ses et étudiant·es.

Le spectacle

C’est à partir du matériel offert par le texte original en ancien français et par sa traduction latine qu’un spectacle, bilingue et composite, sera créé avec le comédien et metteur en scène Charles di Meglio (compagnie « Oghma »), formé à l’école d’Eugène Green et du jeu « baroque ».

Une résidence de recherche-création a déjà eu lieu à la MaCI en mai 2024, qui a abouti à un premier spectacle. Une autre est prévue du 21 au 28 mai 2025, au cours de laquelle un second spectacle sera monté et présenté le 28 mai à la MaCI, puis le 17 juillet au théâtre Le Cube-Antoine Vitez d’Aix en Provence, à l’occasion du congrès de l’IANLS (International Association of Neo-Latin Studies).

Le film

À travers ce projet, il s’agit aussi de penser le rapport de la création contemporaine avec la trace que le spectacle vivant peut laisser, et d’interroger, par la pratique, les conditions de son archivage. Ainsi, un film rendant compte de l’ensemble du processus créatif sera réalisé par deux étudiants en master « Création artistique, parcours Documentaire de création », sous la supervision technique et artistique d’Aude Fourel et de Vincent Sorrel, praticiens du cinéma documentaire.

Une publication scientifique viendra enfin tirer les enseignements de l’expérience, du point de vue scientifique et artistique, co-signée par Mathieu Ferrand et Charles di Meglio.

Article rédigé par Mathieu Ferrand

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À distance

« Autour d’une biographie intellectuelle sur Roland Barthes en Italie »
Guido Mattia Gallerani (université de Bologne)

Séance introduite par Valeria Tettamanti (ATER, Université de Poitiers)

Roland Barthes (1915-1980) fut une personnalité controversée de son vivant, et un classique incontournable de l’essai, de la sémiologie et de la critique littéraire après sa mort. Dans la reconstruction proposée dans Roland Barthes. Dalla vita al testo (Roma, Carocci, 2024), les événements biographiques font écho à l’histoire et à la culture françaises. Depuis la longue convalescence en sanatorium jusqu’aux voyages à l’étranger, de la période de l’engagement jusqu’à 1968 et au-delà, l’ouvrage de Guido Mattia Gallerani cherche à éclairer l’origine, les thèmes et les finalités de la recherche de Barthes. En incarnant le rôle d’un intellectuel à la fois analyste et utopiste, aux prises avec les difficultés et les désirs fous du monde, Barthes nous offre des pistes pour aborder les sens et les contresens de notre présent.

Guido Mattia Gallerani est chercheur en littératures comparées à l’université de Bologne. Il étudie les modes d'interaction entre les genres (littéraires et non) dans le contexte des médias et leur évolution dans le temps. Chez Firenze University Press, il a consacré une étude à un genre suspendu entre journalisme et littérature : L’intervista immaginata. Da genere mediatico a invenzione letteraria (2022). Chez Morellini, il a publié un volume sur les évolutions créatives de l’essai, Pseudo-saggi. (Ri)Scritture tra critica e letteratura (2019), et Roland Barthes e la tentazione del romanzo (2013). Chez Mondadori, il a édité avec Alberto Bertoni l’édition commentée de Quaderno di quattro anni d’Eugenio Montale (2015). Pour Carocci, il a écrit la biographie intellectuelle Roland Barthes. Dalla vita al testo (2024).

Il a également écrit les livres de poésie Falsa partenza (Ladolfi, 2014 – finaliste au Prix Mauro Maconi et au Prix Ceppo Under 35 2015) et I popoli scomparsi (peQuod, 2020 – Prix Antonio Gramsci 2022), dont un poème a été sélectionné pour l’anthologie Poesie italiane 2020 (Elliot, 2021). Ses poèmes sont traduits en français, anglais, espagnol et roumain. Il est actuellement vice-président du Centre de Poésie Contemporaine de l’université de Bologne.

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Si l’essai a une longue histoire, l’époque contemporaine connaît un renouvellement des pratiques critiques et théoriques : déplacement ludique, lecture hypothétique, exercice d’étrangeté, fragmentation de la notation, les écritures critiques inventent de nouveaux chemins, n’hésitant pas à frayer avec la fiction et à s’aventurer elle-même du côté de l’écriture littéraire. Les frontières entre littérature et savoir critique se font poreuses et invitent à des circulations et des détournements. Ce sont ces nouveaux usages de l’invention critique que le séminaire voudrait analyser cette année.

En pratique

La séance est organisée en distanciel uniquement : lien Zoom (ID de réunion : 920 5308 0638 ; code secret : 779973).

• En savoir plus sur Inventions critiques – séance 6

Ce programme interdisciplinaire – littératures, arts du spectacle – vise à observer les pratiques d’écriture (poésie, théâtre, littérature) en lien avec les intelligences artificielles génératives (IAG), afin de contribuer à leur documentation et au renouvellement des imaginaires que les IAG suscitent. Il s’agira d’observer les usages que trois autrices françaises font de l’IAG dans les différentes phases d’un processus d’écriture, notamment la façon dont elles adaptent et font évoluer leurs prompts en fonction de leur évaluation de la qualité des réponses apportées. Ces usages et pratiques seront documentés par l’équipe de recherche au sein de trois résidences de recherche-création, qui auront lieu sur chacun des trois sites partenaires du programme : UGA, Lyon 2 et UNIL. Chacune des résidences s’organisera autour d’une thématique en lien avec l’imaginaire des IAG, en y articulant un travail linguistique avec l’IAG : travailler avec l’IA et sur l’IA. 

Trois résidences de recherche-création

Valentin Decloquement et Pascale Roux accueilleront à Lyon l’artiste Milène Tournier, autrice de 27 fois la muraille de Chine, je me suis posé la réponse (Théâtrales, 2024), un dialogue de l’autrice avec ChatGPT autour de la Grande Muraille de Chine. Ensemble, ils travailleront sur la figure de l’oracle et les modalités du questionnement dans l’art du prompt, en associant la résidence à des TD de pratiques d’écriture en licence et des séminaires de master (ateliers avec l’autrice).

Pierre Banos-Ruf et Julie Valero accueilleront Sabryna Pierre, autrice dramatique, pour une enquête autour des fantômes que fait (re)surgir l’IA – les deadbots – à partir d’un événement tragique ayant eu lieu à Saint-Laurent-du-Pont (Isère) en 1970 : l’incendie de la discothèque Le 5-7, dans lequel 146 personnes ont perdu la vie. Travaillant la forme de l’oratorio, Sabryna Pierre aimerait élaborer une partition pour un chœur d’hologrammes tout en consignant, au jour le jour, ses échanges avec le modèle de LLM qui sera spécifiquement choisi pour son travail. 

Enfin, Romain Bionda explorera avec une autrice dont l’identité est à confirmer la question des relations entre humains et autres qu’humains, à travers la figure de l’animal, de la machine intelligente et des êtres hybrides.

À travers ces trois résidences, l’équipe du projet tentera de mieux cerner et comprendre à partir de quels imaginaires des autrices peuvent travailler avec un système intelligent, qu’il s’agisse d’en faire un assistant, un co-auteur ou l’objet d'un détournement, tout en interrogeant les biais de la machine et ses impacts sociaux et environnementaux. Le fruit de ces travaux (textes dramatiques, poésies, performances) sera publié et documenté à travers une série d’événements scientifiques (deux colloques et plusieurs séances de séminaires).

→ Événements à venir

• 4-5 juin 2025 : Colloque international, La représentation des IA dans les arts littéraires et scéniques : la tentation de la science-fiction, MaCI, Université Grenoble Alpes.
• 11 octobre 2025 : Conférence de Raphaël Doan, Si Rome n’avait pas chuté, dans le cadre de la Fête de la Science (thème « Intelligence(s) »), Village des Sciences Humaines et Sociales, Université Lumière Lyon 2.

Article rédigé par les responsables du projet

• En savoir plus sur Litt&Arts et l'IA : le début d'une nouvelle aventure !

Questes, n° 49 / 2024

Laura Baldacchino, Emma Coutier et Marielle Devlaeminck (dir.)

Éditeur : Association des amis de Questes
ISSN : 2109-9472

> Consulter le numéro en ligne 
(site OpenEdition)

Date de publication : 10/02/2025

• En savoir plus sur Ésotérisme, magie, sorcellerie

En version papier, chacun des trois numéros annuels s'organise autour d'un thème, introduit par un spécialiste, et publie les versions écrites des communications données dans le cadre du séminaire du même nom. La version numérique accueille, en plus des contributions papiers, des articles de recherche originaux sur des thèmes variés, des notes de lecture ou encore des entretiens avec des chercheur·ses médiévistes confirmés.

Afin de comprendre l’articulation complexe de savoirs ésotériques (médiévaux et contemporains) avec les pratiques magiques du Moyen Âge, en particulier la sorcellerie, ce numéro est organisé en trois temps. Il est d’abord question du processus de construction et d’évolution d’un mythe de magicien, du Moyen Âge à aujourd’hui. L’examen au plus près du texte d’un manuscrit de magie médiévale est ensuite l’occasion de mieux appréhender la diversité des savoirs ésotériques médiévaux, ainsi que la porosité des disciplines magiques (astrologie, exorcisme, invocations, liturgie). Enfin, la part belle est faite aux sorcières qui, aujourd’hui, font couler beaucoup d’encre.

Marielle Devlaeminck est docteure associée à Litt&Arts – ISA.

L'analyse figurale en question
Conférence de Nacim Belhadj et Vincent Deville

À partir de deux textes, « Le travail du film, 2 » (1975) et « L'écriture figurale dans le cinéma muet des années 20 » (1999), qui emploient tous deux le concept de figural pour analyser Les Chasses du comte Zaroff (1932) et Le Cabinet du docteur Caligari (1920), Nacim Belhadj mettra en lumière les différences entre ces deux types d'usage du concept et dégagera leurs multiples enjeux théoriques.

Quand, dans un article paru dans les Cahiers du cinéma (2017), Nicole Brenez nous amène à voir dans Les Derniers Parisiens de Hamé et Ekoué un récit modeste mais doté de l'ambition de « rendre compte d'une génération oubliée dans un repli de l'histoire néocoloniale », elle y parvient par les moyens de l'analyse figurative. Une méthode par laquelle elle hisse au même niveau d'exigence l'attention portée aux films et la considération pour les figures de la précarité historique, ce dont il sera question dans la conférence de Vincent Deville.

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Nacim Belhadj est chargé de cours et doctorant à l'université Paris Nanterre sous la direction de Barbara Le Maître. Il prépare une thèse sur l'histoire du concept de figural et son passage de la philosophie à la théorie du cinéma.

Vincent Deville est maître de conférences en études cinématographiques à l'université Paul-Valéry Montpellier 3, où il co-dirige depuis 2014 le Master 2 « Métiers de la production » avec le producteur Serge Lalou. Il a publié Les Formes du montage dans le cinéma d'avant-garde (PUR, 2014) et co-dirigé trois ouvrages collectifs : avec Rodolphe Olcèse, L'Art et les formes de la nature et L'Art tout contre la machine (Hermann, 2021 et 2023) ; avec Loig le Bihan, Penser les formes filmiques contemporaines (UGA, 2023).

• En savoir plus sur Analyses d’analyses – Séminaire 12

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Après la première édition à Nancy en 2011, à laquelle ont succédé celles de Cambridge 2014, Paris 2016, Neuchâtel 2018, et Munich 2023, le prochain colloque de la Société Internationale de Diachronie du Français (SIDF) se tiendra pour sa 7^e session à l'Université Grenoble Alpes. 

Lieu d'échanges et de rencontres sur l'histoire de la langue française, le colloque accueillera cinquante chercheur·ses de divers pays européens pour des communications qui se partageront entre trois axes :

1. Phraséologie et stratégies discursives en diachronie
2. Diachronie en francophonie
3. Rythme et périodisation des changements linguistiques

Les conférences plénières seront assurées par les professeur·es Amalia Rodríguez Somolinos (Universidad Complutense de Madrid, Espagne), Andres Kristol (Université de Neuchâtel, Suisse) et Philippe Caron (Université de Poitiers). Plusieurs chercheur·ses de Litt&Arts (Pascale Mounier, Cécile Lignereux, Tanguy Lemoine, Élie Génin, Corinne Denoyelle) et du Lidilem (Julie Sorba, Iris Fabry, Timothée Celeyron) y présenteront leurs travaux.

L'entrée est libre et gratuite. 

• En savoir plus sur Colloque de la Société Internationale de Diachronie du Français (SIDF)

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

En effet, ces trois termes n’ont pas seulement en partage une étymologie commune (vulgaris, en latin : « qui concerne la foule, commun, général »), ils ont aussi connu des variations sémantiques analogues, pour partie liées à l’évolution des médias, de la littérature et des arts.

Les interventions s'étendront des pratiques de vulgarisation des savoirs aux enjeux de la vulgarité dans la littérature et les arts visuels, tout en abordant les questions liées à la vulgarisation scientifique à travers la littérature et les arts. En s’inscrivant dans ces réflexions actuelles qui traversent les arts et les sciences humaines, les doctorantes et doctorants issus de divers horizons réfléchiront à ces enjeux et partageront leurs analyses et travaux de recherche.

Dans le prolongement de ces réflexions, une rencontre avec Vincent Laisney (MCF HDR, univ. Paris Nanterre), auteur des Tribulations d’un chercheur en littérature (CNRS Éditions, 2025), viendra nourrir les échanges autour des pratiques de recherche en sciences humaines.

• En savoir plus sur Vulgaire, vulgarité, vulgariser

Mellie Basset : « Le discours de conseil dans les longs romans du XVII^e siècle »
sous la direction de Stéphane Macé – inscription en octobre 2021

Loup Belliard : « De la vertu à la pathologie : personnages sans sexualité dans le roman français du premier XIX^e siècle »
sous la direction de Delphine Gleizes et Damien Zanone (univ. Paris Est Créteil) – inscription en novembre 2021

Ingrid Bray : « Le théâtre catholique et la carte postale : le cas du Dauphiné (1900-1930) »
sous la direction d'Alice Folco et Guillaume Le Gall – inscription en octobre 2024

Lucie Bonnet : « Les pratiques aériennes dans le cirque contemporain français »
sous la direction de Gretchen Schiller – inscription en octobre 2020

Amandine Chlad : « Édition critique, traduction et commentaire de l’Ilias Latina, attribuée à Baebius Italicus »
sous la direction de Florian Barrière – inscription en octobre 2019

Angela Conquet : « Faire corps : making dance present scores for theorising dance curation »
sous la direction de Gretchen Schiller et Rachel Fensham (univ. de Melbourne) – inscription en octobre 2022

Émilie Demouselle : « La Maniere d’enter et planter en jardins : étude des premiers traités agronomiques écrits en français de Pietro de’ Crescenzi à Charles Estienne et Jean Liébault (1373-1564) »
sous la direction de Fleur Vigneron – inscription en octobre 2022

Chloé Dudoignon : « Performances poétiques à l'ère du numérique. Le corps à l'épreuve des nouveaux media (Camille Bloomfield, Rupi Kaur, Kae Tempest, Nino Mick) »
sous la direction d'Isabelle Krzywkowski – inscription en septembre 2024

Romain Fernandez : « Littérature d’anticipation et science-fiction : pour une étude linguistique et générique comparative fondée sur corpus (1860-2010) »
sous la direction de Delphine Gleizes et Iva Novakova (LIDILEM, UGA) – inscription en octobre 2023

Élie Génin : « Rhétorique des discours insérés dans les romans français de la Renaissance »
sous la direction de Pascale Mounier – inscription en octobre 2024

Anastasia Gladoshchuk : « Le Mexique au miroir des modernismes. Circulation des imaginaires et des arts (France, Angleterre, Russie) »
sous la direction de Delphine Rumeau – inscription en octobre 2022

Farida Juan : « L'homicide littéraire. Meurtres et assassinats dans quelques romans arthuriens du XIII^e siècle »
sous la direction de Corinne Denoyelle – inscription en octobre 2022

Cécile Jullion : « Les séquences grecques dans la Correspondance de Cicéron »
sous la direction de Florian Barrière et Julie Sorba (LIDILEM, UGA) - inscription en octobre 2021

Guy Raoul Konan : « Les ailes et le souffle. L’hypothèse d’une violence d’État sur les migrants subsahariens : gouvernementalité en transformation ? Le Maroc comme scène »
sous la direction de Florent Gaudez – inscription en septembre 2023

Louisa Laj : « Penser la tragédie grecque à la Renaissance : l’exemple des paratextes des éditions et traductions de tragédies grecques »
sous la direction de Malika Bastin-Hammou – inscription en septembre 2021

Mathilde Le Meur : « Étude linguistique des aliments à travers des livres de cuisine (France, XVII^e siècle) »
sous la direction de Geoffrey Williams – inscription en octobre 2022

Tanguy Lemoine : « La ponctuation moyenne dans la prose narrative en français préclassique »
sous la direction de Pascale Mounier (co-direction Céline Guillot, ENS de Lyon et co-encadrement Alexei Lavrentiev, ENS de Lyon) – inscription en octobre 2022

Solène Lépinay : « Proust, Gide et le roman du réel (1911-1914) »
sous la direction de Françoise Leriche - inscription en octobre 2021

Madeleine Martineu : « Nouvelles figures d’écrivain·es-journalistes au XXI^e siècle : pratiques d’écritures, héritages et circulations »
sous la direction de Laurent Demanze - inscription en septembre 2022

Jeanne Montanvert : « Raconter la montagne au XXI^e siècle : une littérature au risque de l’Anthropocène ? »
sous la direction de Catherine Mariette – inscription en septembre 2022

Jeanne Mousnier-Lompré : « Les miroirs aux princesses. Reflets et facettes littéraires du pouvoir féminin à la fin du Moyen Âge »
sous la direction de Fleur Vigneron et María Morrás (UPF Barcelone) – inscription en septembre 2022

Thibaut Neveu : « L'imaginaire de la modernité technique de l'après-guerre dans la bande dessinée belge (Spirou) et italienne (Le Avventure di Chiodino et Le Avventure di Atomino) (1946-1968) »
sous la direction d'Isabelle Krzywkowski et Erwin Dejasse (ULB) – inscription en octobre 2024

Kevin Pelladeaud : « La prospective urbaine dans la littérature d’anticipation (1880-1914) »
sous la direction de Delphine Gleizes – inscription en septembre 2019

Simon Pesenti : « Esthétique de la désarticulation dans les séries de Damon Lindelof »
sous la direction de Fabienne Costa et Guillaume Bourgois – inscription en janvier 2023

Alexis Pignol : « Le tropisme russe de la littérature contemporaine française »
sous la direction de Laurent Demanze – inscription en septembre 2021

Morgane Pozo Olivera : « Effets de surfaces. À partir de l’œuvre de Nobuhiko Ōbayashi »
sous la direction de Fabienne Costa – inscription en novembre 2023

Kieran Puillandre : « D’une temporalité à l’autre : analyses esthétiques et politiques des dialogues entre photographie et cinéma depuis 1960 »
sous la direction de Didier Coureau – inscription en octobre 2020

Pauline Saccol : « Le roman de chevalerie dans la Bibliothèque bleue : réemploi et adaptation des éditions du XVI^e siècle »
sous la direction de Pascale Mounier – inscription en octobre 2022

Yuki Sakabe : « Essai sur le phrasé chez Proust : croisement de la pratique et de la théorie »
sous la direction de Françoise Leriche – inscription en octobre 2022

Marco Sanchis : « La chair au travail. Résister par le geste filmique aux côtés des gestes égoutiers et paysans »
sous la direction de Didier Coureau (co-encadrement Aude Fourel) – inscription en octobre 2023

Anne-Lise Solanilla : « Hyper-subjectifs : comment la poésie post-internet aborde l'expression de soi »
sous la direction d'Isabelle Krzywkowski et Vincent Broqua (univ. Paris 8) – inscription en novembre 2020

Stefania Tesser : « Pour une édition numérique des Considérations sur les principaux événemens de la révolution françoise de Germaine de Staël »
sous la direction de Françoise Leriche – inscription en octobre 2024

Mariam Veliashvili : « Chroniques urbaines : expériences et écritures de la ville dans l'entre-deux-guerres (France, États-Unis, Japon, URSS) »
sous la direction d'Isabelle Krzywkowski – inscription en octobre 2023

Camille Zimmermann : « Philosophie du corps en mouvement. Recherche-action sur l'agentivité épistémique incarnée dans l’apprentissage »
sous la direction de Gretchen Schiller et Amandine Catala (UQAM) – inscription en janvier 2021

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