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Grenoble - Centre ville

Suite de l’analyse des lettres extraites des Familiares de Cicéron (III, 13 ; X, 4 et XV, 11). Confrontation des analyses de Voellus avec celles de Melanchthon.

En pratique

Public visé : étudiants et chercheurs de toutes disciplines (littéraires, antiquisants, stylisticiens, historiens…) s’intéressant à la rhétorique. 
Modalités d’inscription : le séminaire est public sous réserve d’inscription (écrire à ellen.delvalleeuniv-grenoble-alpes.fr (Ellen Delvallée) ou à cecile.lignereuxuniv-grenoble-alpes.fr (Cécile Lignereux)).

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Grenoble - Centre ville

Analyse des lettres extraites des Familiares de Cicéron (III, 13 ; X, 4 et XV, 11). Confrontation des analyses de Voellus avec celles de Melanchthon.

En pratique

Public visé : étudiants et chercheurs de toutes disciplines (littéraires, antiquisants, stylisticiens, historiens…) s’intéressant à la rhétorique. 
Modalités d’inscription : le séminaire est public sous réserve d’inscription (écrire à ellen.delvalleeuniv-grenoble-alpes.fr (Ellen Delvallée) ou à cecile.lignereuxuniv-grenoble-alpes.fr (Cécile Lignereux)).

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Grenoble - Centre ville

Traduction et analyse du descriptif que Voellus consacre au discours de remerciement. Réflexion sur le genre démonstratif, appelé également exornatio. Confrontation avec le modèle d’Érasme.

En pratique

Public visé : étudiants et chercheurs de toutes disciplines (littéraires, antiquisants, stylisticiens, historiens…) s’intéressant à la rhétorique. 
Modalités d’inscription : le séminaire est public sous réserve d’inscription (écrire à ellen.delvalleeuniv-grenoble-alpes.fr (Ellen Delvallée) ou à cecile.lignereuxuniv-grenoble-alpes.fr (Cécile Lignereux)).

• En savoir plus sur Traduction du descriptif de Voellus sur le remerciement

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Alors que les manifestations artistiques de plein air fleurissent à la faveur du contexte pandémique que nous connaissons, la journée d’étude se penchera sur un certain type de créations en extérieur, dont le développement est largement antérieur à la crise de la Covid-19, et qui présentent la double spécificité d’être situées (inextricablement liées aux sites au sein desquels elles prennent forme) et audioguidées (fondées sur des dispositifs sonores embarqués, qui déterminent l’expérience des sites qu’elles investissent). Dans certains cas, ces créations offrent de suivre ou croiser des artistes, dont les propositions chorégraphiques et/ou théâtrales s’articulent à celles des bandes-son ; dans d’autres, elles tiennent tout entières à l’imbrication des « paysages sonores » qu’elles composent avec les sites qui les inspirent. 



Que recherchent les artistes, plus ou moins familiers du travail dans l’espace public et des démarches in situ, qui s’engagent dans ce type de créations ? En quoi consistent les propositions sonores qu’ils ou elles développent ? Comment s’articulent-elles aux sites qui les accueillent, et comment influencent-elles les expériences spectatrices auxquelles elles concourent ? 



Pour creuser ces questions, la journée d’étude accueillera des chercheuses en arts de la scène, spécialistes des approches in situ, et fera la part belle à des artistes et compagnies concernés par ces pratiques : Curious (Royaume-Uni), Ici-Même, Fanny de Chaillé, Cie Jeanne Simone, KompleX KapharnaüM, Laurent Pichaud et Pixel 13, Corinne Pontier d’Ici-Même. 



// Journée d'étude organisée dans le cadre du programme « Écouter le terrain : Pratiques chorégraphiques en partage », co-porté par l’UMR Litt&Arts (Séverine Ruset et Gretchen Schiller), le CCN2 – Centre Chorégraphique National de Grenoble et le CDCN Le Pacifique, avec le soutien du ministère de la Culture //

En pratique

Entrée libre sur réservation (close au 20 octobre).

En parallèle

— « Falling into place », immersion dans la bibliothèque de nos corps mémoire (durée : 15 min/personne)

— « Le Sappey à la jumelle », randonnée audioguidée en montagne proposée par Laurent Pichaud (X- Sud) en partenariat avec le CCN2

Lieu : Le Sappey-en-Chartreuse

Info & réservation

• En savoir plus sur Écouter le terrain : enjeux de la création audioguidée

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Intervenant·es

Dorena Caroli (Alma Mater – Università di Bologna)
Gianni Rodari et les ouvrages publiés en Italie à l’occasion du centenaire de sa naissance

Lors de cette intervention seront présentées les publications italiennes les plus récentes sur Gianni Rodari illustrant les diverses sphères littéraires qu’il a abordées : poésie, comptines et contes, ainsi que son activité journalistique. Une attention particulière sera portée à l’étude de la traduction de ses poèmes en russe par Samuel Marshak. L’analyse de la traduction des Aventures de Cipollino sera menée à partir d’une étude de Marina Balina.

Sylvie Martin-Mercier (Université Grenoble Alpes, ILCEA4)
De la règle d’écolier à la tarte volante : objets magiques dans l’œuvre de Gianni Rodari (1920-1980)

Des règles d’écolier deviennent des baguettes magiques entre les mains des jumeaux Mino et Sara, une mignardise lâchée par un savant distrait transforme en gigantesque gâteau à explorer comme une grotte une bombe atomique, la flûte d’un nouvel Hamelin entraîne des dizaines de voitures hors de la ville : par la force de l’imagination et le pouvoir des mots qui acquièrent une fonction magique sous sa plume, revisitant parfois les contes populaires et de fées, Gianni Rodari transfère le pouvoir de la magie dans les objets du quotidien, donnant naissance à une magie moderne et rassurante.

En pratique

Séance organisée sur place et en ligne.
Pour participer en ligne cliquez sur ce lien.

• En savoir plus sur Le pouvoir de l’imagination – Gianni Rodari (1920-1980)

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

L'article de Claude-Pierre Perez « L’imaginaire : naissance, diffusion et métamorphoses d’un concept critique » (2014), proposé par Audrey Dominguez (docteure associée à ISA), fera l'objet de cette première séance animée par Isabelle Krzywkowski.

Cet article présente en 2014 un état des lieux de l’émergence et de l’évolution du concept d’imaginaire dans le champ théorique français, et des débats qu’il a suscités. 

Selon le principe des « lectures théoriques partagées », les participants sont invités à se saisir préalablement du texte pour, en séance, le discuter collectivement et le faire dialoguer avec d’autres travaux.

• En savoir plus sur Lectures théoriques partagées

Séminaire ISA

Le séminaire du Centre de recherche Imaginaire et Socio-Anthropologie (ISA) permet une réflexion théorique autour du concept d’imaginaire et le suivi de la recherche internationale sur la question. Il repose sur une pratique collective de la lecture critique et se propose l’approfondissement de thématiques ou de problématiques annuelles, décidées collectivement.

La session 2021-2022, dans le cadre de la réflexion menée actuellement par l’équipe sur les imaginaires sociaux contemporains, portera sur les imaginaires écologiques et environnementaux, entre angoisse apocalyptique et utopies de nouveaux modes/mondes communs.

En pratique

Jour et heure : les séances se déroulent chaque dernier jeudi du mois (sauf en février [interruption pédagogique] et en mai [un jour férié]), de 10h30 à 12h30.
Lieu : à l’exception de la première séance (Salle des Actes du Bâtiment Stendhal), le séminaire se déroulera dans la Grande ou la Petite salle des colloques (Bâtiment Stendhal, aile G, 4^e étage), sur un mode hybride (Zoom) pour les personnes qui ne pourraient pas se déplacer.

Séances 2021-2022

Séance « Lectures théoriques partagées » et préparation de l’année 2022-2023

• En savoir plus sur Imaginaires écologiques

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Ces journées doctorales entendent interroger la notion de méthode en Sciences Humaines et Sociales, considérant tout à la fois que l’appareil méthodologique n’est ni neutre ni universel en ce sens qu’il témoigne toujours d’une appréhension historique du monde, et d’une façon d’en articuler sa compréhension. Cependant, même assuré de ses outils, le travail de recherche ne peut tout à fait se départir de contingence, au mieux même, celle-ci fournit-elle l’ouverture nécessaire à une réflexivité sur ces outils, l’occasion, même modeste parfois, d’apprécier un cadre par son en-dehors, c’est à dire en tant qu’il opère. Mais comment soutenons-nous l’événement possible de l’occasion et la force structurante du hasard dans la démarche méthodologique ?

La position liminaire que nous souhaiterions introduire consiste donc en la reconnaissance que se logeraient, dans le pli de la méthode, l’incertain et l’impasse, tel que l’accident se trouverait toujours lié aux promesses d’un accomplissement de la recherche. Et puisque la méthode, ainsi considérée, porte une vulnérabilité nouvelle nuançant sa scientificité, il convient de l’élargir en un terrain supplétif, ou, pour suivre les conseils de Philippe Riutot de « sociologiser la méthode », autrement dit « (d’)envisager les opérations de collecte de données en tant qu'opérations pleinement sociales mettant en présence des agents sociaux coopérant (ou pas) à une investigation dont les tenants et les aboutissants leur échappent en grande partie ».

Nous souhaiterions ainsi, à l’occasion de ces journées, faire ressortir la variété des liens survenant dans un travail en train de se faire et qui finalement ont permis, parfois avec surprise, de diriger nos démarches analytiques et interprétatives dans des perspectives imprévues.

• En savoir plus sur Contingence et modèle : de l’invention méthodologique en Sciences Humaines et Sociales

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Le moment 1800 n’est pas seulement un temps de bouleversements politiques, sociaux et psychiques pour les contemporains. Il requiert aussi, du fait de l’intensité des événements, une refonte des genres littéraires et plus précisément de la fiction : comment renouveler l’imagination ? Quels sont les nouveaux enjeux du romanesque ? La fiction est-elle-même encore possible après la Terreur ? Ces questions traversent toute l’œuvre de Germaine de Staël (1766-1817), qui théorise le renouvellement des formes narratives au lendemain de la Révolution, mais aussi l’expérimente dans ses récits hybrides, souvent inclassables et dont l’hétérogénéité ou l’inachèvement emblématise la spectaculaire dynamique des formes en 1800.

• En savoir plus sur Germaine de Staël au défi de la fiction en 1800

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Nazim Djemaï, né en 1977 à Leningrad en Russie, a notamment vécu et travaillé à Alger et en France. Il a réalisé deux longs métrages documentaires particulièrement remarqués : Nawna (je ne sais pas) (2007) et À peine ombre (2012). Le premier a été réalisé à Cambridge Bay, ville de l’Arctique canadien où vit une communauté inuite, le second à la Clinique de La Borde (alors dirigée par le docteur Oury). Son seul film de fiction mené à son terme est le très beau court-métrage La Parade de Taos (2009).

Le travail artistique et filmique de Djemaï est en réalité beaucoup plus ample, avec de nombreuses ramifications possibles. Il s'agira ainsi d'étudier l'implication de ses différentes expérimentations tournées en pellicule ou en vidéo, ainsi que ses travaux photographiques et écrits, afin d'approcher ses différents chantiers, dont certains étaient en cours de création, dans toutes leurs résonances poétiques autant que politiques.

// Journée d'étude organisée par Robert Bonamy, David Yon et Ikbal Zalila dans le cadre du programme de recherche « Zones politiques et poétiques du cinéma : Recherche/Création » coordonné par Aude Fourel, Didier Coureau et Robert Bonamy (CINESTHEA) //

• En savoir plus sur Nazim Djemaï : une constellation filmique (en hommage à Nazim Djemaï – 1977-2021)