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Recherche

Le rôle des semelles connectées dans le processus de rééducation à la marche des personnes amputées du membre inférieur : travail de soin, appropriation et intégration de la prothèse

Séminaire Corps et prothèses, Recherche Le 21 mai 2021
Complément date

13h00 - 14h00

À distance

Interventions de Mathilde Apelle (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, CETCOPRA) et Marco Saraceno (Université de Reims Champagne-Ardenne, PSMS)

Mathilde Apelle est docteure en sociologie, membre du CRESPPA-GTM et post-doctorante au CETCOPRA – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses différents travaux de recherche s’inscrivent dans les domaines de la sociologie du travail et de la santé, de la sociologie de la connaissance médicale, de la sociologie du handicap et de la sociologie du corps. Dans le cadre de sa thèse, elle s'est intéressée à un monde social déterminé, le monde de l’armée. De manière plus précise, elle a étudié le travail de soin et de réhabilitation des blessés de guerre, plus largement, des blessés militaires. Actuellement, elle est chercheuse post-doctorante au CETCOPRA – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne dans le cadre du projet de recherche ASCAR portant sur l’introduction des semelles connectées (intermédiaire technique) dans le rapport entre le patient, son corps et le thérapeute dans le processus de rééducation à la marche des personnes amputées du membre inférieur.

Maître de conférences en sociologie à l’Université de Reims Champagne-Ardenne et chercheur au laboratoire Performance, santé, métrologie, société (PSMS), Marco Saraceno développe ses travaux dans la perspective d’une socio-histoire de la mesure du corps en activité. Entre histoire des sciences et des techniques et sociologie du corps et de l’activité, il s’est notamment intéressé aux techniques de mesure de l’effort physique et à leur rôle dans le débat social et épistémologique sur la valeur de l’activité humaine. Il est l’auteur aux éditions Octarès de l’ouvrage Pourquoi les hommes se fatiguent-ils ? Une histoire des sciences du travail (1890-1920) paru en 2018.

En pratique

Pré-inscription obligatoire afin de recevoir par mail, quelques jours avant chaque séance, les liens permettant de s'inscrire à la séance à venir et de se connecter à la visioconférence.

Contact

contactatcorps-protheses.org (Comité d'organisation)

Alexia Dedieu, lauréate 2021 du Prix “Jeune Chercheur” de la Fondation des Treilles

Distinction / Prix Recherche Le 22 février 2021

Alexia Dedieu, en quatrième année de thèse en Langues et civilisations de l’Antiquité à Litt&Arts, sous la direction de Malika Bastin (TRANSLATIO), a reçu le Prix du Jeune Chercheur de la Fondation des Treilles.

La Fondation des Treilles décerne cette aide à la recherche à des chercheurs français ou étrangers âgés de moins de 35 ans, en fin de thèse (quatrième année maximum) ou post-doctorants, qui mènent leurs recherches en France. La sélection des dossiers est effectuée par un Conseil scientifique.

Après avoir obtenu un contrat doctoral IDEX (IRS) 2017-2020, Alexia Dedieu est actuellement à Würzburg en Allemagne grâce à une bourse du DAAD (Deutscher Akademischer Austauschdienst – Office allemand d'échanges universitaires). Elle est membre de l'ANR IThAC, en charge du corpus Euripide, et sa soutenance de thèse est prévue en 2022. Ce prix va lui permettre de terminer sa thèse, de poursuivre son travail d'archive et de traduction, et d'approfondir l'étude de ce corpus encore majoritairement inexploré.

Courte synthèse de sa recherche

Alexia Dedieu travaille sur la réception d'Euripide au XVIe siècle, et sa recherche porte particulièrement sur les traductions et paratextes latins consacrés au poète. Ce corpus hétéroclite, écrit en latin, langue de communication savante de l’époque, et éparpillé dans les diverses bibliothèques d’Europe, a longtemps été laissé de côté par la critique. Pourtant, ces écrits, essentiels pour étudier la réception d’Euripide, sont également un pilier de l’histoire littéraire européenne. En effet, à une époque où la théorie littéraire ne constitue pas encore une discipline à part entière, c’est dans les paratextes que se développent les débats théoriques qui agitent le monde littéraire et artistique. En marge des textes d’Euripide s’élaborent ainsi les discours théoriques sur l’acte de traduction et sa mise en pratique, de même que les réflexions sur le genre de la tragédie qui ont par la suite façonné le théâtre classique du XVIIe siècle. Mais la portée de ces travaux dépasse le champ littéraire. Les savants qui en sont les auteurs sont des penseurs proches du pouvoir politique et religieux, et entre leurs mains, les tragédies d’Euripide deviennent un instrument pédagogique, religieux et politique.

Nina Soleymani Majd, lauréate du Prix d’honneur 2020 de la Société Française de Littérature Générale et Comparée

Distinction / Prix Recherche Le 2 février 2021

Nina Soleymani Majd, docteure de l’UMR Litt&Arts, a reçu le Prix d’honneur 2020 de la Société Française de Littérature Générale et Comparée pour sa thèse intitulée « Lionnes et colombes : les personnages féminins dans le Cycle de Guillaume d’Orange, la Digénide, et le Châhnâmeh de Ferdowsi ».

La Société Française de Littérature Générale et Comparée (SFLGC) a pour vocation de coordonner les activités portant sur l’étude de la littérature comparée en France, afin de développer l’enseignement et la recherche dans les domaines qui en relèvent, et de nourrir la réflexion sur l’évolution vivante de la discipline. Le Prix de thèse et le Prix d’honneur de la SFLGC distingue et valorise annuellement les meilleures thèses de littérature générale et comparée. Il constitue notamment une aide à la publication de la thèse.

Nina Soleymani Majd a soutenu sa thèse en Littérature générale et comparée le 13 décembre 2019 à l’Université Grenoble Alpes, sous la direction de Florence Goyet (centre de recherche RARE). À la croisée des études de genre et du renouvellement des études épiques, sa thèse cherche à réévaluer la place des personnages féminins dans l’épopée médiévale française, byzantine et persane.

Résumé de sa thèse

L’objet de ce travail est d’étudier les effets de la présence importante du féminin dans l’épopée médiévale, présence paradoxale dans la mesure où il s’agit de poèmes guerriers fortement empreints de masculinité. L’analyse s’appuie sur trois corpus épiques majeurs de France, de Byzance et de Perse, composés du XIe au XIIIe siècle. L’étude des personnages féminins dans un cadre comparatiste permet de faire ressortir leur degré d’impact sur la diégèse, de mettre en regard leurs relations de subordination mais aussi d’indépendance vis-à-vis de leurs homologues masculins, et de faire la part entre les stéréotypes misogynes et les marques de valorisation au sein des représentations littéraires. Le genre épique ayant été récemment redéfini comme le lieu privilégié de l’affrontement de valeurs sociétales antithétiques à travers l’emploi d’outils narratifs plutôt que conceptuels, nous souhaiterions montrer que ce fonctionnement peut aussi s’appliquer aux normes de genre. Parce que leur intervention au sein de l’action épique devient problématique dès lors qu’elle entre en concurrence avec celle des hommes, les femmes de l’épopée suscitent une remise en question permanente de ces normes. Qu’il soit indirect ou frontal, ce mouvement d’interrogation latent fait émerger une transgression proprement féminine, qui, lorsqu’elle conduit à l’héroïsme, autorise une relecture des œuvres allant à l’encontre des préjugés essentialistes.

Consulter

Collimateur : 50 ans d’analyse esthétique des films (1970-2020)

Axe 3, Recherche

Le programme Collimateur entend rendre visible un type de discours consacré aux films, qui, s’il innerve les recherches et l’enseignement cinématographiques, échappe non seulement à une définition claire mais aussi à une histoire qui permettrait d’appréhender sa constitution et son développement : l’analyse esthétique des films.

Cette recherche fédère des équipes de plusieurs universités françaises (Paris 3 - Sorbonne Nouvelle, Amiens - UPJV), et a pour partenaire institutionnel privilégié la Cinémathèque française.
 
Collimateur, c’est à la fois : 

Une histoire 

Émergeant avec l’introduction des études cinématographiques à l’Université au début des années 1970, l’analyse esthétique des films s’est ensuite transformée, apparaissant jusqu’à aujourd’hui sous des formes plurielles, disparates, par ailleurs disséminées dans des lieux divers (revues spécialisées ou non, ouvrages, mémoires et thèses mais aussi documentaires, conférences filmées consacrées à des films…). Après une cinquantaine d’années de pratiques multiples, il semble nécessaire d’en faire l’archéologie, en en traçant les grandes lignes de force, et ainsi réintroduire de la cohérence dans « un système de dispersion » (Michel Foucault).

Si l’ambition, à terme, est de mener un programme de recherche au long cours (l’histoire de l’analyse sur cinq décennies), l’équipe se consacre actuellement aux seules années 1980 – décennie où l’analyse filmique se démarque progressivement de l’approche sémiologique.

Une réflexion épistémologique

Dépouillant systématiquement tout ouvrage et toute revue de cinéma (et certaines hors de ce périmètre) de langue française parus pendant cette période, les participants au projet constituent un corpus inédit et procèdent à l’analyse des discours, afin de cerner les définitions plurielles de l’analyse esthétique du film. Le repérage s’étendra dans un deuxième temps aux documents audiovisuels.

Des séminaires

Cette double entreprise d’histoire et de réflexion analytique est ponctuée de séminaires croisés :

Séminaire « Histoire et historiographie de l’analyse esthétique de films » 

Trois séances annuelles, à Grenoble (Maison de la Création et de l’Innovation), Paris (Maison de la Recherche, Paris 3) et Amiens (Université de Picardie Jules-Verne, UFR des Arts). 
Les membres de l’équipe font le point sur les textes lus et retenus. La confrontation des points de vue permet de distinguer les différentes formes, d’en montrer parfois le caractère hybride, et d’en esquisser progressivement une histoire.

Séminaire « Analyses d’analyses »

Trois séances annuelles, à Grenoble (Maison de la Création et de l’Innovation, campus universitaire), Paris (Cinémathèque française) et Amiens (Université de Picardie Jules-Verne, UFR des Arts).
Deux invités (universitaires, critiques…) par séance présentent un texte méconnu. 

Une base de données 

« Anna-Lise » est un outil participatif et inédit conçu en collaboration avec l’équipe d’ingénierie informatique ELAN. Actuellement en phase de tests, elle permettra de divulguer un corpus susceptible d’intéresser un public de chercheurs, de pédagogues et d’étudiants en donnant accès à : 

  • une bibliographie raisonnée et organisée des analyses de films. Qui sera suivie, à terme, d’une filmographie (documentaires sur des films, ou tout type de document audiovisuel témoignant d’une forme d’analyse esthétique) ;
  • une anthologie de textes directement accessibles (et indexés sur un référencement inédit, par motifs, procédés techniques…), ainsi qu’à des commentaires de ces textes menés par des spécialistes ;
  • un outil de veille sur l’actualité de l’analyse filmique ;
  • un lieu de publication : réflexions sur l’analyse, études de cas, mais également des analyses inédites ;
  • un lieu de production de films d’analyse.

Coordination

Membres

• Litt&Arts : Guillaume Bourgois, Pierre Jailloux, Martial Pisani, Jean-Baptiste Renault, Vincent Sorrel
• EHESS : Aude Servais
• IRCAV (Sorbonne Nouvelle) : Emmanuel Siety
• CRAE (Picardie Jules-Verne) : Philippe Fauvel
• Cinémathèque française : Laurence Lécuyer
• Sorbonne Nouvelle : Jean Regazzi, docteur en Études cinématographiques

Soutenance de Philippe Collé – Lettres et arts spécialité Langues et civilisations de l’Antiquité

Soutenance Recherche Le 24 septembre 2020
Complément date

13h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Bâtiment Stendhal
Salle des Actes

Présentation et traduction française du De Inventione dialectica

Résumé
Traduction en français du De Inventione dialectica (1479) de Rodolphe Agricola. L’auteur y critique l’enseignement scolastique qu’il a reçu, mais ne rompt pas avec la dialectique, qu’au contraire il renforce. Il développe l’invention, qui produit des arguments, et permet de les reconnaître dans les discours, avec un moindre intérêt pour le jugement, simple contrôle après coup. La Présentation essaie de souligner la nouveauté de la démarche ; la traduction de restituer la variété des types d’écriture, de la démonstration logique au commentaire de textes littéraires ou à leur imitation.

Composition du jury

  • Francis GOYET (Professeur, Université Grenoble Alpes, Directeur de thèse)
  • Dominique COUZINET (Maître de conférences, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Rapporteuse)
  • Tristan VIGLIANO (Maître de conférences, Université Lumière - Lyon 2, Rapporteur)
  • Stéphane MACÉ (Professeur, Université Grenoble Alpes, Examinateur)
  • Christine NOILLE (Professeure, Sorbonne Université, Examinatrice)

Directeur de thèse

Francis GOYET

Litt&Arts, centre RARE

Soutenance de Seokhyeon Han – Lettres et arts spécialité Littératures française et francophone

Soutenance Recherche Le 9 novembre 2020
Complément date

14h00

À distance

Le discours de Roland Barthes au Collège de France : pré-roman, trans-écriture, hyper-critique

Résumé
Ce qu’on lit et écoute dans les notes préparatoires et les paroles enregistrées des cours de Roland Barthes au Collège de France, c’est le discours qui dit les fantasmes singuliers d’un sujet. Ce discours oscille entre science et littérature, langage critique et langage expressif, réalité et fiction, méta-discours et discours-objet. Cette particularité permet de concevoir son cours comme à la fois un acte créateur et une expérimentation littéraire. L’hypothèse est la suivante : les trois cours, indépendants les uns des autres, constituent une unité autour du fantasme final, la Vita Nova qui est un Roman du degré zéro. En nommant l’ensemble des fragments du discours, dispersés dans les cours, « pré-roman », on tente de reconstruire une œuvre en tant qu’architecture de fantasme, à savoir le roman comme discours qui dramatise le dernier parcours de Barthes. Et ce travail analyse quatre dimensions de son discours : l’espace, le temps, le langage et la méthode.

Composition du jury

  • Claude COSTE (Professeur, Université Cergy-Pontoise, Directeur de thèse)
  • Bruno BLANCKEMAN (Professeur, Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Rapporteur)
  • Anne HERSCHBERG PIERROT (Professeure, Université Paris 8, Rapporteure)
  • Catherine MARIETTE (Professeure, Université Grenoble Alpes, Examinatrice)
  • Laurent DEMANZE (Professeur, Université Grenoble Alpes, Examinateur)
  • Régis TETTAMANZI (Professeur, Université de Nantes, Examinateur)

Directeur de thèse

Claude COSTE

Litt&Arts, centre É.CRI.RE

Dérèglements du temps

Journée d'étude Doctorants et doctorantes, Recherche Du 18 mai 2021 au 19 mai 2021
Complément date

9h30 - 16h00 le 18/05
9h30 - 12h30 le 19/05

À distance

Ces journées, organisées par les doctorant·es de Litt&Arts, fourniront l’occasion de s’interroger sur la façon dont les œuvres d’art montrent, disent ou font vivre ces dérèglements du temps.

L’invitation à interroger le phénomène des dérèglements du temps et ses manifestations dans l’œuvre d’art tâche de prendre acte de la difficulté douloureuse de nos sociétés à saisir le temps dans son épaisseur réelle. Car c’est cette difficulté que viennent refléter, en l’exagérant et en la caricaturant parfois, pour mieux la penser, les différentes formes d’art. Les arts se saisissent de la question du temps à la fois sur le plan thématique, dans la représentation d’une société déboussolée en perte de repères temporels ; et sur le plan technique – par des bouleversements qui peuvent opérer, selon les œuvres, sur les plans narratologique, linguistique, poétique, ou encore dramaturgique. Ces journées fourniront alors l’occasion de s’interroger sur la façon dont les œuvres d’art montrent, disent ou font vivre ces dérèglements du temps. Elles seront aussi le lieu d’envisager, sur le plan méthodologique, avec quel regard, et selon quels outils les chercheurs des sciences humaines peuvent tenter d’appréhender la matière temporelle malmenée de telles œuvres.

En pratique

Journées organisées en visioconférence avec Zoom : se connecter.

Contacts

Comité d'organisation :
kevin.pelladeaudatuniv-grenoble-alpes.fr (Kévin Pelladeaud)
gabrielle.bornancin-tomasellaatuniv-grenoble-alpes.fr (Gabrielle Bornancin-Tomasella)
camille.thermesatuniv-grenoble-alpes.fr (Camille Thermes)
celia.mugnieratuniv-grenoble-alpes.fr (Célia Mugnier)
adrien.gautieratuniv-grenoble-alpes.fr (Adrien Gautier)

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> « Arts, savoirs, indisciplines », le blog des doctorant·es de Litt&Arts

AFFICHE

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Corpus et généricité

Journée d'étude Axe 1, Recherche Le 18 mai 2021
Complément date

14h00 - 17h30

À distance

Cette journée d’étude se propose de présenter les projets conduits en collaboration entre les axes 1 de Litt&Arts et du LIDILEM. Elle sera l’occasion de confronter les méthodes de caractérisation des genres et des formes littéraires en croisant approches poéticiennes, rhétoriques, stylistiques et linguistiques.

Programme

14h00 – Introduction (Delphine Gleizes et Iva Novakova) (5 min)

Présentations

14h05 – « Phraséologie et genres textuels : le cas du roman médiéval (Projet Formules) »
Corinne Denoyelle / Julie Sorba / Olivier Kraif (15 min)
 
Discussion – 10 min
 
14h30 – « Phraséologie du genre épistolaire (Projet PhraséoCorr) »
Cécile Lignereux / Julie Sorba / Iris Fabry (doctorante) (20 min)
 
Discussion – 10 min
 
15h00 – « ENCHRE / Phraséobase : un exemple de synergie »
Bernard Roukhomovsky / Elodie Dufour / Julie Sorba (20 min)
 
Discussion – 10 min
Pause – 20 min

Perspectives 

15h50 – « La forme versifiée du dialogue dans les genres narratifs (XVe-XVIIe siècles) »
Pascale Mounier et Corinne Denoyelle (15 min)
 
Discussion – 10 min
 
16h15 – « De la Science-Fiction à l’anticipation : aux origines d’un genre »
Delphine Gleizes / Claire Barel-Moisan / Iva Novakova (20 min)
 
Discussion – 10 min

Conclusion

En pratique

Journée organisée en visioconférence avec Zoom : se connecter.
> ID de réunion : 954 5476 4832
> Code secret : 649036

Contact

delphine.gleizesatuniv-grenoble-alpes.fr (Delphine Gleizes)

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Rencontres de l'axe 1 – N° 1

Rencontre / Débat, Réunion Axe 1, Recherche Le 3 mars 2021
Complément date

14h00 - 17h30

À distance

Cette séance de travail réunit les membres de l’axe 1 et est ouverte à tous les membres de l’UMR intéressés.

Présentation de projets de l’axe 1 et réflexion collective

Rhétorique

  • Pascale Mounier, Point sur Schola Rhetorica – 10 min
  • Ellen Delvallée et Cécile Lignereux, Présentation du projet Variatio – 20 min
  • Discussion – 20 min

Pause

Lexicologie

  • Geoffrey Williams, Les Vergers de Monsieur Basnage : les arbres fruitiers dans un dictionnaire de la fin du XVIIe siècle – 20 min
  • Fleur Vigneron, Présentation de NAMA (Nommer les Arbres au Moyen Âge) : la question de la synonymie et du bilinguisme dans le cas des noms des arbres – 15 min
  • Discussion – 20 min

Pause

Perspectives et réflexion collective

  • Brigitte Combe, Le projet Réticence. Perspectives – 10 min
  • Delphine Gleizes
    • Des collaborations avec le LIDILEM : rencontre du 18 mai
    • Vie de l’axe : réflexion sur les prochaines rencontres 2022 ; sur la notion de « Nouvelles philologies »
    • Point sur les conférences de Litt&Arts (séminaire central de l’UMR) : suggestions pour la séance assurée par l’axe 1 ?

En pratique

Séance organisée en visioconférence avec l'outil Zoom : se connecter.
> ID de réunion : 951 0894 3535
> Code secret : 232183

Contact

delphine.gleizesatuniv-grenoble-alpes.fr (Delphine Gleizes)

Postures et scénographies auctoriales – séance 6

Séminaire Postures et scénographies auctoriales, Recherche Le 7 avril 2021
Complément date

13h30 - 15h30

À distance

Rencontre avec Alexandre Gefen (critique littéraire et directeur de recherche à l'UMR THALIM, université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle).

Rencontre avec Alexandre Gefen autour de son livre L'Idée de littérature. De l'art pour l'art aux littératures d'intervention

Loin d’être une essence, la littérature est avant tout une idée. Cet essai entend en faire l’histoire, de l’apparition du mot et de la naissance du concept au tout début du XIXe siècle à ses étonnantes métamorphoses contemporaines.

Car le territoire de littérature connaît aujourd’hui une formidable extension : de la littérature définie par son désintéressement, son autonomie, aux écritures contemporaines volontiers sociales et politiques, du sacre de l’auteur aux amateurs de fanfictions, du souci unique du style à la non-fiction, de l’apologie de l’originalité à l’exigence de l’enquête, de la solitude du créateur aux littératures de terrain, du roman romanesque aux écritures du monde non humain, du culte du texte aux écritures hors du livre, du tropisme occidental à la world literature, d’une conception linguistique à une approche informée par l’anthropologie culturelle et les sciences de la nature.

Que s’est-il passé ? Pourquoi avons-nous longtemps identifié la littérature à l’art pour l’art ? Quels chemins a emprunté ensuite notre idée de la littérature, après s’être définie par son inutilité et son intransitivité, pour nous apparaître désormais comme une pratique communicationnelle et relationnelle, à la fonction éthique et même démocratique ?

En pratique

Séance organisée en visioconférence avec l'outil Zoom : se connecter.

Contact

laurent.demanzeatuniv-grenoble-alpes.fr (Laurent Demanze)

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