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Contingence et modèle : de l’invention méthodologique en Sciences Humaines et Sociales

Journée d'étude Doctorants et doctorantes, Recherche Du 27 septembre 2021 au 28 septembre 2021
Complément date

13h30 - 17h30 le 27/09
9h00 - 18h00 le 28/09

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Sciences de l'Homme-Alpes
Amphithéâtre
1221 avenue Centrale

Ces Journées des Jeunes Chercheurs en Socio-Anthropologie interrogeront la notion de méthode en Sciences Humaines et Sociales.

Ces journées doctorales entendent interroger la notion de méthode en Sciences Humaines et Sociales, considérant tout à la fois que l’appareil méthodologique n’est ni neutre ni universel en ce sens qu’il témoigne toujours d’une appréhension historique du monde, et d’une façon d’en articuler sa compréhension. Cependant, même assuré de ses outils, le travail de recherche ne peut tout à fait se départir de contingence, au mieux même, celle-ci fournit-elle l’ouverture nécessaire à une réflexivité sur ces outils, l’occasion, même modeste parfois, d’apprécier un cadre par son en-dehors, c’est à dire en tant qu’il opère. Mais comment soutenons-nous l’événement possible de l’occasion et la force structurante du hasard dans la démarche méthodologique ?

La position liminaire que nous souhaiterions introduire consiste donc en la reconnaissance que se logeraient, dans le pli de la méthode, l’incertain et l’impasse, tel que l’accident se trouverait toujours lié aux promesses d’un accomplissement de la recherche. Et puisque la méthode, ainsi considérée, porte une vulnérabilité nouvelle nuançant sa scientificité, il convient de l’élargir en un terrain supplétif, ou, pour suivre les conseils de Philippe Riutot de « sociologiser la méthode », autrement dit « (d’)envisager les opérations de collecte de données en tant qu'opérations pleinement sociales mettant en présence des agents sociaux coopérant (ou pas) à une investigation dont les tenants et les aboutissants leur échappent en grande partie ».

Nous souhaiterions ainsi, à l’occasion de ces journées, faire ressortir la variété des liens survenant dans un travail en train de se faire et qui finalement ont permis, parfois avec surprise, de diriger nos démarches analytiques et interprétatives dans des perspectives imprévues.

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Germaine de Staël au défi de la fiction en 1800

Séminaire Centre CHARNIÈRES, Questions génériques - questions génétiques, Recherche Le 28 septembre 2021
Complément date

17h30 - 19h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle Jacques Cartier

Première séance du séminaire ​CHARNIÈRES avec l'intervention de Stéphanie Genand (Professeure en Littérature française du XVIIIe siècle, université de Bourgogne).

Le moment 1800 n’est pas seulement un temps de bouleversements politiques, sociaux et psychiques pour les contemporains. Il requiert aussi, du fait de l’intensité des événements, une refonte des genres littéraires et plus précisément de la fiction : comment renouveler l’imagination ? Quels sont les nouveaux enjeux du romanesque ? La fiction est-elle-même encore possible après la Terreur ? Ces questions traversent toute l’œuvre de Germaine de Staël (1766-1817), qui théorise le renouvellement des formes narratives au lendemain de la Révolution, mais aussi l’expérimente dans ses récits hybrides, souvent inclassables et dont l’hétérogénéité ou l’inachèvement emblématise la spectaculaire dynamique des formes en 1800.

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catherine.marietteatuniv-grenoble-alpes.fr (Catherine Mariette)

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Nazim Djemaï : une constellation filmique (en hommage à Nazim Djemaï – 1977-2021)

Journée d'étude Centre CINESTHEA, Recherche Le 29 septembre 2021
Complément date

8h30 - 17h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison de la Création et de l'Innovation
Salle de projection 220 et Auditorium
339 avenue Centrale

Cette journée d'étude, organisée par CINESTHEA, abordera le travail artistique et filmique du cinéaste Nazim Djemaï.

Nazim Djemaï, né en 1977 à Leningrad en Russie, a notamment vécu et travaillé à Alger et en France. Il a réalisé deux longs métrages documentaires particulièrement remarqués : Nawna (je ne sais pas) (2007) et À peine ombre (2012). Le premier a été réalisé à Cambridge Bay, ville de l’Arctique canadien où vit une communauté inuite, le second à la Clinique de La Borde (alors dirigée par le docteur Oury). Son seul film de fiction mené à son terme est le très beau court-métrage La Parade de Taos (2009).

Le travail artistique et filmique de Djemaï est en réalité beaucoup plus ample, avec de nombreuses ramifications possibles. Il s'agira ainsi d'étudier l'implication de ses différentes expérimentations tournées en pellicule ou en vidéo, ainsi que ses travaux photographiques et écrits, afin d'approcher ses différents chantiers, dont certains étaient en cours de création, dans toutes leurs résonances poétiques autant que politiques.

// Journée d'étude organisée par Robert Bonamy, David Yon et Ikbal Zalila dans le cadre du programme de recherche « Zones politiques et poétiques du cinéma : Recherche/Création » coordonné par Aude Fourel, Didier Coureau et Robert Bonamy (CINESTHEA) //

Photographie de Nazim Djemaï
Photographie de Nazim Djemaï, par Mohamad Reza Zandian.

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Robert Bonamy

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Contingence et modèle : de l’invention méthodologique en Sciences Humaines et Sociales

Appel à propositions Recherche Du 10 septembre 2021 au 20 septembre 2021
Complément date

Date limite d’envoi : 20 septembre 2021

Ces prochaines Journées des Jeunes Chercheurs en Socio-Anthropologie, prévues les 27 et 28 septembre 2021 à l'Université Grenoble Alpes, interrogeront la notion de méthode en Sciences Humaines et Sociales.

Ces journées doctorales entendent interroger la notion de méthode en Sciences Humaines et Sociales, considérant tout à la fois que l’appareil méthodologique n’est ni neutre ni universel en ce sens qu’il témoigne toujours d’une appréhension historique du monde, et d’une façon d’en articuler sa compréhension. Cependant, même assuré de ses outils, le travail de recherche ne peut tout à fait se départir de contingence, au mieux même, celle-ci fournit-elle l’ouverture nécessaire à une réflexivité sur ces outils, l’occasion, même modeste parfois, d’apprécier un cadre par son en-dehors, c’est à dire en tant qu’il opère. Mais comment soutenons-nous l’événement possible de l’occasion et la force structurante du hasard dans la démarche méthodologique ?



La position liminaire que nous souhaiterions introduire consiste donc en la reconnaissance que se logeraient, dans le pli de la méthode, l’incertain et l’impasse, tel que l’accident se trouverait toujours lié aux promesses d’un accomplissement de la recherche. Et puisque la méthode, ainsi considérée, porte une vulnérabilité nouvelle nuançant sa scientificité, il convient de l’élargir en un terrain supplétif, ou, pour suivre les conseils de Philippe Riutot de « sociologiser la méthode », autrement dit « (d’)envisager les opérations de collecte de données en tant qu'opérations pleinement sociales mettant en présence des agents sociaux coopérant (ou pas) à une investigation dont les tenants et les aboutissants leur échappent en grande partie ».



Nous souhaiterions ainsi, à l’occasion de ces journées, faire ressortir la variété des liens survenant dans un travail en train de se faire et qui finalement ont permis, parfois avec surprise, de diriger nos démarches analytiques et interprétatives dans des perspectives imprévues.

Modalités

Tous·tes les étudiant·es des cycles supérieurs en Sciences Humaines et Sociales sont invité·es à présenter une communication lors de ces journées d’études, quelle que soit leur spécialisation, leur approche théorique ou l’avancement de leurs recherches. Les interventions peuvent faire l’objet, aussi, d’interventions artistiques en lien avec l’appel.



La durée des communications variera entre 15 et 20 minutes en fonction du nombre de propositions retenues. Les propositions de communication (titre et résumé de 250 mots), avec une courte bio-bibliographie (mentionnant l’université d’attache, le sujet des recherches et les publications, s’il y a lieu), devront être envoyées pour le lundi 20 septembre 2021 à Viviane.Tribyatuniv-grenoble-alpes.fr (Viviane Triby). Merci d’indiquer en objet : Nom, prénom, titre de la proposition. Le comité d’organisation se réserve un délai de 3 jours pour vous répondre.

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À l’écoute des voix du cirque. Quand le cirque se raconte à la radio, sous forme de podcasts et d’autres récits audio-numériques

Séminaire Centre CINESTHEA, Quand le cirque se raconte, Recherche Du 24 septembre 2021 au 25 septembre 2021
Complément date

9h00 - 18h00 le 24/09
9h45 - 13h00 le 25/09

À distance

Complément lieu

Centre National des Arts du Cirque
1 rue du cirque
51000 Châlons-en-Champagne

Cette deuxième séance de séminaire sera consacrée à la façon dont la culture circassienne est racontée et transmise par le biais des voix et des paroles enregistrées dans le cadre de productions radiophoniques, de podcasts ou d'autres productions audio-numériques.

Des archives des grandes maisons de radio jusqu'aux plus récents podcasts, en passant par les radios éphémères lancées par les festivals de cirque, il existe un grand nombre de programmes consacrés au cirque. Documentaires radiophoniques, retransmission de spectacles, entretiens avec des artistes, archives des compagnies… L'ensemble de ces voix laisse entendre tout ce qui se déroule en dehors de la scène et transmet une multitude de visions du cirque, que nous souhaitons écouter. Que nous racontent les productions radiophoniques sur le cirque ? À qui s'adressent-elles ? Par qui et pourquoi ces archives sonores sont-elles constituées ? En diffusant ces voix, cette séance de séminaire cherche à comprendre de quelle manière elles contribuent à la mémoire et à l'histoire du cirque.

À écouter en amont du séminaire :

En pratique

Séance organisée sur place et en ligne.
Inscription obligatoire pour recevoir le lien de connexion permettant de suivre les interventions en ligne.

Séminaire Quand le cirque se raconte
Xavier Cambervel. PHILOCIRQUE par Eleonora Gimenez et Diego Vernazza, Proyecto Precipicio, juin 2021.

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marion.guyezatuniv-grenoble-alpes.fr (Marion Guyez)

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Didon et Enée chez Jean Malalas

Séminaire Recherche, TRANSLATIO Le 17 décembre 2021
Complément date

10h00 - 13h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle des Conseils

Ce séminaire, organisé par TRANSLATIO, traite de domaines et objets variés, relatifs à l'édition, la transmission et la réception des textes antiques, et aux transferts culturels qui les accompagnent.

Laurence Vianès (répondant F. Junqua)
Didon et Enée chez Jean Malalas

Les étudiants de M1 et M2 du parcours SDA ont travaillé ce semestre sur les quelques pages consacrées aux voyages d’Énée au livre 6 de la chronique de Jean Malalas (VIe siècle). Ils en présentent une traduction annotée. Malalas donne sur le passé grec des versions souvent rationalisées, cherchant à livrer la « vérité historique » dont les mythes grecs ne seraient qu’un habillage chamarré. À l’occasion il rassemble en un seul plusieurs mythes. Ainsi, dans les pages concernées, il identifie Héraclès avec Polyphème ainsi que, peut-être, le dieu-fleuve Achéloos avec le centaure Nessos. Il utilise comme sources beaucoup d’historiens dont les œuvres sont perdues. La séance portera à la fois sur la caractérisation de Malalas et sur l’intérêt pédagogique d’un tel travail.

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malika.bastinatuniv-grenoble-alpes.fr (Malika Bastin)

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Aristophanes in Renaissance and Early Modern Literature

Séminaire Recherche, TRANSLATIO Le 10 décembre 2021
Complément date

10h00 - 13h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle des Conseils

Ce séminaire, organisé par TRANSLATIO, traite de domaines et objets variés, relatifs à l'édition, la transmission et la réception des textes antiques, et aux transferts culturels qui les accompagnent.

Malika Bastin (répondant M. Ferrand)
Aristophanes in Renaissance and Early Modern Literature

Greek Drama has had an important though complex influence on European Drama in the Renaissance and this was to a large extent due to the circulation of Latin translations of Greek Drama, but also of Neo-Latin tragedies or comedies inspired by Greek Drama, which can be considered as translations in a broader sense : not of the text, but of the genre, structure, themes and main characteristics.

The purpose of this paper is thus to determine the importance of interactions between Latin translations of Greek Drama and Neo-Latin creations inspired by Greek Drama.

A focus on Greek comedy, and especially on Plutus, which have been early and abundantly translated into Latin and, to a lesser extent, adapted and imitated, may help us understand better the complex relation between Latin translations and Neo-Latin creation during the Renaissance–and in turn to define those moving and evolving concepts better.

The study of the specific case of Alciatus, who translated Clouds into Latin c. 1517 and wrote c. 1523 Philargyrus, a Neo-Latin comedy inspired by Aristophanes, should shed a new light on the interaction between translation, imitation and creation of Ancient Greek Comedy in the Renaissance.

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malika.bastinatuniv-grenoble-alpes.fr (Malika Bastin)

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Le cycle agreste des Carmina de Pascoli : réécritures socialistes de Virgile et Horace

Séminaire Recherche, TRANSLATIO Le 26 novembre 2021
Complément date

10h00 - 13h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle des Conseils

Ce séminaire, organisé par TRANSLATIO, traite de domaines et objets variés, relatifs à l'édition, la transmission et la réception des textes antiques, et aux transferts culturels qui les accompagnent.

Sarah Orsini (répondante I. Cogitore)
Le cycle agreste des Carmina de Pascoli : réécritures socialistes de Virgile et Horace

Dans le recueil des Carmina de Pascoli, certains poèmes forment un ensemble qu'on appellera le cycle agreste. Ils partagent des thématiques communes, notamment la représentation idéalisée de la petite propriété garantissant la liberté et la subsistance de son possesseur qui vit de son travail. Ces poèmes partagent également un point commun littéraire : ils proposent des réécritures de poèmes d'Horace et de Virgile. Cet article cherche à montrer comment opère cette relecture socialiste de ces deux poètes latins, mais également que cette relecture évolue en fonction du temps selon divers courants du socialisme correspondant à l'engagement de Pascoli mais aussi au contexte historique et géopolitique.

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malika.bastinatuniv-grenoble-alpes.fr (Malika Bastin)

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Tous les appels à contributions des revues

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Féeries, n° 18 / 2021 : Contes en couleur

Appel à propositions Recherche Du 15 juin 2020 au 1 octobre 2020

Appel à contributions sur le thème "Contes en couleur" pour le numéro 18 | 2021 de la revue Féeries portée par Litt&Arts et publiée chez UGA Éditions.

Date limite d’envoi : 1er octobre 2020

Si les « impressions » couleur et l’illustration en couleur se développent au XVIIIe siècle, il n’est pas ici question de cela — ou pas seulement, ou pas directement. Le titre « Contes en couleur » désigne le fait que le conte fait couleur, que la narration féerique ou merveilleuse impose un univers mental de la couleur. Comme il existe des rêves en noir et blanc et des rêves en couleur, des visions polychromiques, dys- ou achromatopsiques, il existe sans doute des littératures incolores — les fictions narratives par exemple de Madame de La Fayette, Marivaux ou Prévost, où le monde extérieur s’exprime d’abord au travers d’une rhétorique, d’une langue et non d’une vision — et des littératures de la couleur, en couleur.

Le dossier « Contes en couleur » de la revue Féeries s’inscrit dans le prolongement de la perspective ouverte par les récents travaux sur la couleur au XVIIIe siècle, notamment par le dernier numéro de Dix-huitième siècle (« La couleur des Lumières », A. Gaillard et C. Lanoë [dir.], 51/2019).

Les contributions pourront alors aborder, sans exclusive, les axes suivants :
 

  • Couleur et merveille.
  • Les fées coloristes : dimension métadiscursive des fées créatrices d’univers colorés.
  • Certaines couleurs spécifiques : le bleu (le conte bleu, le bleu comme indice métadiscursif ?), le jaune, le doré, l’or (à dimension alchimique ? On peut penser à la transformation de la paille en or dans RumpelstilzchenNain Tracassin — des Grimm) ; la triade blanc/noir/rouge.
  • Contes rococos (Funestine de Beauchamps avec son génie Clair-Obscur et son palais de « marbre vert campan »).
  • Les contes et la couleur des bestiaires (particulièrement les oiseaux, perroquets, paons) et lapidaires (pierres précieuses).
  • La couleur des objets magiques.
  • La mise en fiction des savoirs scientifiques sur la couleur, la circulation des savoirs entre optique et conte : les débats autour du newtonisme, le clavecin oculaire dans les Bijoux indiscrets de Diderot, le conte de Deslandes (L’Optique des mœurs opposée à l’optique des couleurs).
  • Des œuvres ou auteurs spécifiques qui imposent un univers particulièrement coloré : Lubert, Aulnoy, Diderot, Mouhy, Le Prince Arc-en-ciel (conte anonyme, 1731).
  • L’univers coloré de certains sous-corpus (conte oriental, voyages imaginaires ou interplanétaires dans les contes, conte romantique, fantastique) : quelles couleurs ? Pour quels effets, quelle poétique ?
  • Réécritures et évolution des notations colorées.
  • Les illustrations couleurs de certains contes ou corpus (des dessins coloriés à la gouache du manuscrit des contes en prose de Perrault aux Contes choisis de l’Imagerie d’Épinal).

Modalités et calendrier

Les propositions d’articles ainsi qu’une courte notice bio-bibliographique sont à envoyer à la responsable du numéro, aurelia.gaillardatgmail.com (Aurélia Gaillard) (Université Bordeaux Montaigne/IUF), avant le 1er octobre 2020, les articles (30 000 signes environ) seront à rendre pour le 1er mars 2021.

Contact

aurelia.gaillardatgmail.com (Aurélia Gaillard)

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