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Citer les Anciens à la Renaissance : la citation et la fabrique de l’Antiquité dans les éditions des textes classiques. Analyse et exploration numérique

Colloque Centre TRANSLATIO, Recherche Du 24 avril 2023 au 25 avril 2023
Complément date

10h00 - 17h00 le 24/04
9h30 - 17h00 le 25/04

Complément lieu

Université Jean Moulin - Lyon 3
Salle de la Rotonde
18 rue Chevreul
69007 Lyon

Ce colloque est organisé dans le cadre du projet ANR IThAC “L'invention du théâtre antique dans le corpus des paratextes savants du XVIe s. Analyse, traduction, édition numérique” porté par Malika Bastin-Hammou (Litt&Arts – TRANSLATIO, UGA) et Pascale Paré-Rey (HiSoMA, Lyon 3).

La fin du XVe siècle voit paraître l’édition princeps de nombreux auteurs anciens, grecs et latins. Avec la naissance de l’imprimé, la place dévolue aux paratextes rédigés par les éditeurs et commentateurs augmente considérablement : or les épîtres dédicatoires, arguments, prolégomènes, préfaces, adresses au lecteur, traités ou commentaires que les humanistes intègrent à leurs éditions sont émaillés de références aux auteurs antiques. À la faveur des numérisations croissantes, de nombreux paratextes du XVIe siècle sont désormais accessibles, que nous nous proposerons d’explorer sous l’angle de la citation.

Les thématiques abordées se situeront à la croisée des recherches menées au sein de l’ANR IThAC, qui porte sur le corpus des paratextes aux éditions des auteurs dramatiques anciens à la Renaissance et leur exploitation numérique, et de l’Axe B du Laboratoire HiSoMA, qui s’intéresse à la mémoire et la réception des cultures anciennes.

En pratique

Événement hybride sur site et en ligne.
Suivi à distance (Zoom) : contacter sarah.gaucheratuniv-lyon3.fr (Sarah Gaucher) pour obtenir le lien de connexion.

Visuel du colloque

Contact

sarah.gaucheratuniv-lyon3.fr (Sarah Gaucher)

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Le récit carcéral à travers un cas d’étude : le corpus de Goliarda Sapienza

Séminaire Centre CHARNIÈRES, Questions génériques - questions génétiques, Recherche Le 18 avril 2023
Complément date

17h30 - 19h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle Jacques Cartier

Intervention de Mara Capraro, doctorante en études italiennes et études françaises à l’UGA, en co-direction dans le laboratoire LUHCIE et l’UMR Litt&Arts, dans le cadre de cette nouvelle séance du séminaire CHARNIÈRES.

La communication portera sur l’analyse de cette catégorie assez complexe de récit carcéral par le biais d’un cas d’un cas d’étude particulier : le corpus de l’écrivaine italienne contemporaine Goliarda Sapienza. Sapienza peut être considérée comme un exemple atypique d’écrivaine prisonnière de droit commun qui observe la prison avec le regard d’une intellectuelle et livre ensuite au public une féroce dénonciation politique. Le témoignage de Sapienza nous permet aussi de problématiser la question de la stigmatisation des femmes déviantes qui écrivent sur la prison.

Mara Capraro est doctorante en études italiennes – études françaises à l’Université Grenoble Alpes (en co-direction dans le laboratoire LUHCIE et l’UMR Litt&Arts) depuis septembre 2017. Elle a été lectrice de langue italienne au sein de l’UFR Langues étrangères de l’Université Grenoble Alpes de 2020 à 2022 et elle est actuellement chargée de cours. Ses recherches portent sur les récits de la prison de l’écrivaine italienne Goliarda Sapienza, avec une attention particulière accordée à l’analyse du corps. Le titre de sa thèse est « È stata una lezione di letteratura. Formes et significations de la prison dans l’œuvre narrative de Goliarda Sapienza ». Elle a effectué deux séjours de recherche à l’Université de Catane (Italie) et participé à plusieurs colloques et journées d’étude en France et en Italie. Elle a dirigé un numéro de la revue Cahiers d’études italiennes en 2021 et elle a aussi publié plusieurs articles en français et en italien, dont « Le narrazioni del carcere di Goliarda Sapienza: una commistione di pratiche, generi e codici » dans la revue Cahiers d’études italiennes, no 32, mars 2021 et « ‘Il ne me reste plus qu’à me lever et affronter la journée de la façon la plus féminine possible’ : résistances à la prison dans l’œuvre de Goliarda Sapienza », dans un ouvrage collectif à paraître en 2023 aux éditions PUL.

Contact

catherine.marietteatuniv-grenoble-alpes.fr (Catherine Mariette)

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Traduire les signes – Dialogue de traduction/craduction de poésie japonaise et table-ronde autour de la traduction littéraire

Atelier, Table ronde Centre É.CRI.RE, Culture, Recherche Le 26 avril 2023
Complément date

14h00 - 17h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison de la Création et de l’Innovation (MaCI)
Amphithéâtre (1er étage)

À l'occasion de cette après-midi proposée par Pascale Roux (Litt&Arts – É.CRI.RE) et Alice Berthon (ILCEA4), il s'agira de valoriser la traduction littéraire et de faire réfléchir aux questions qu’elle pose.

Cette demi-journée vise à réunir des étudiant·es, des enseignant·es-chercheur·euses et des artistes, afin de valoriser la traduction littéraire et de faire réfléchir aux questions qu’elle pose, particulièrement la traduction de la poésie, et celle de langues que l’on peut dire « distantes », comme le japonais.

Les signes dans un texte à traduire sont variés : signes linguistiques (alphabet, mots, phrases, sons…), symboles, dimension iconique du texte (en particulier pour le poème), forme (vers, rimes, par exemple), genre (le sonnet, le haïku, etc.)… On peut choisir de transposer ces signes d’un système linguistique à un autre ou d’un système sémiotique à un autre : de la langue à la musique, au dessin, à la scène… Cette demi-journée se propose de réfléchir, à partir de cas concrets et en lien avec une démarche créative et ludique, aux signes traduits/traduisants dans un texte littéraire ; elle amènera également à s'interroger sur la frontière entre ce qu’on peut appeler une traduction et une adaptation, voire une (re)création.

L'après-midi se composera d’une table-ronde et d’un entretien, avec des participants ayant différents points de vue professionnels sur la traduction littéraire, d’un dialogue de traductions de poèmes japonais et de « craductions », dans la lignée des traductions « grosso crado » de Christian Prigent, Bruno Fern et Typhaine Garnier : « Craduire : se doter volontairement d'une incompétence, désapprendre les langues, comprendre autre chose que ce qu'il faudrait. » (Christian Prigent, Bruno Fern et Typhaine Garnier, Craductions, Caen, Éditions Lurlure, 2022)

Cette manifestation est organisée en partenariat avec le théâtre Hexagone Scène Nationale, dans le cadre de l'Atelier de traduction-création de la SFR Création et de l'accord-cadre avec le ministère de la Culture.

[Réalisation de l'affiche et du programme : ​Gilda Nikfarjam]

En pratique

L'événement aura lieu en présentiel, mais sera également accessible à distance : lien Zoom.

Visuel de l'atelier

Contacts

pascale.rouxatuniv-grenoble-alpes.fr (Pascale Roux)
alice.berthonatuniv-grenoble-alpes.fr (Alice Berthon)

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De la Baltique à la Mer Noire : l’œuvre d’Emmanuel Ruben entre géopolitique et géopoétique

Séminaire Centre É.CRI.RE, Recherche Le 31 mars 2023
Complément date

14h00 - 17h00

À distance

Séance 2 du séminaire inter-laboratoires 2023 : L’Espace littéraire de Berlin à Vladivostok, co-organisée par Anne-Marie Monluçon (É.CRI.RE) et Liouba Bischoff (CERCC, ENS Lyon).

Entre 2010 et 2022, Emmanuel Ruben, né en 1980 à Lyon, a publié 13 livres qui composent une œuvre protéiforme : romans, nouvelles, essais, récits qu’il préfère appeler des textes de dépaysement ou d’arpentage plutôt que des récits de voyage, ainsi que des livres inspirés de l’histoire de sa famille, combinant autofiction, histoire collective et imaginaire. Géographe de formation, écrivain et peintre, il conjugue dans son œuvre science et littérature, mais aussi texte et images au sens propre et figuré. Son œuvre est très diverse sur le plan des aires géographiques, culturelles et imaginaires de référence : la région Rhône-Alpes, l’ancienne Europe de l’Est et l’Orient d’Europe, Israël et l’Algérie.

Cette intervention se situe dans la perspective de la journée d’étude organisée le 9 juin prochain à Grenoble, dans le cadre d’un partenariat entre le CERC, centre de recherche de l’ENS et l’UMR Litt&Arts, sous l’intitulé « Emmanuel Ruben, l’écriture du territoire entre imaginaire et actualité ». À travers deux approches complémentaires, il s’agit de présenter, parmi ses œuvres, le « massif » le plus approprié au périmètre de ce séminaire, « l’espace littéraire de Berlin à Vladivostok », qui se trouve être aussi le plus vaste, puisqu'il peut être délimité par la formule « De la Baltique à la Mer Noire ».

Ouvert à tout public – étudiant, enseignant et chercheur – ce séminaire est l’occasion de présenter un ouvrage récent, d’annoncer un colloque, ou d’articuler communications et discussion autour d’un projet de recherches.

En pratique

Séance organisée à distance uniquement :
lien Zoom
– ID de réunion : 951 5163 4148
– code secret : 913194

Contact

anne-marie.monluconatuniv-grenoble-alpes.fr (Anne-Marie Monluçon)

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Caméramage

Centre CINESTHEA, Recherche

Ce projet de recherche porte sur l’imaginaire technique entre innovation et création.

Il s’appuie sur des documents de conception des appareils (carnets, notes, dessins, brevets…) et  une hypothèse : la caméra est d’abord fabriquée par des images avant d’en produire (B. Turquety). Mais encore, en reliant l’invention technique et l’invention formelle, les cinéastes imaginent des systèmes de symbolisation qui métaphorisent leur rapport à la réalité comme ils métaphorisent  les systèmes techniques qu’ils utilisent pour symboliser leurs modes d’action (L. Wittgenstein). C’est une des conditions pour produire des modes d’existences différents (G. Simondon) et de nouvelles formes d’agir (E. Cassirer) afin de singulariser leur geste.

Sur quelles images les inventeurs ou les fabricants se sont-ils appuyés pour donner forme aux caméras ? Qu’est-ce qu’elles symbolisent ? Quelles images les cinéastes projettent-ils sur leur caméra pour inventer leur pratique ? Quel part l’imaginaire que l’on porte à l’objet technique occupe-t-il dans la création ?

Coordination

Responsable
Vincent Sorrel

Centre porteur
CINESTHEA

Hélène Gaudy, s’immiscer dans “la matière meuble des histoires” : le lieu, l’image et la trace

Journée d'étude Centre É.CRI.RE, Recherche Le 21 avril 2023
Complément date

9h00 - 17h30
 

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Médiat Rhône-Alpes
Salle de conférence

Cette journée, soutenue par É.CRI.RE, invite à mettre en lumière les lignes de force qui sous-tendent l’œuvre de cette écrivaine contemporaine.

Plasticienne de formation, commissaire d’exposition, membre du collectif Inculte, autrice de romans, de récits, d’ouvrages pour la jeunesse et de livres d’art – les multiples visages d’Hélène Gaudy disent la place singulière que l’écrivaine occupe dans le paysage littéraire contemporain. Depuis une quinzaine d’années, Hélène Gaudy bâtit une œuvre riche aux multiples sillons, dont cette journée voudrait retracer les contours. De Vues sur la mer à Un monde sans rivage, l’écrivaine explore un double versant, à la fois romanesque et documentaire. Tandis que les premiers textes (Vues sur la mer en 2006, Si rien ne bouge en 2009 et Plein hiver en 2014) déploient une veine fictionnelle, les trois livres qui suivent s’inscrivent quant à eux dans le sillage des écritures de l’enquête : plongée dans la ville de Terezín, lieu de mémoire qui servait de « ghetto-modèle » pendant la seconde guerre mondiale (Une île, une forteresse, Inculte, 2016) ; arpentage du lac de Grand-Lieu près de Nantes (Grands Lieux, Joca Seria, 2017) ; retour sur l’échec de l’expédition Andrée dans le Grand Nord à la fin du XIXe siècle (Un monde sans rivage, Actes Sud, 2019).

Tout en prenant la mesure de ces infléchissements dans l’écriture et la pratique d’Hélène Gaudy, cette journée invite à mettre en lumière les lignes de force qui sous-tendent l’œuvre dans son ensemble, sans négliger les liens de l’écrivaine avec le monde de l’art et ses textes pour la jeunesse. Car dès les premiers récits, apparaissent déjà les thèmes et enjeux centraux qui ressurgissent jusqu’à Un monde sans rivage : l’attention au lieu, l’attrait du paysage, l’ouverture de l’enquête sur l’imagination et la rêverie, le rapport du texte à l’image, la question de la mémoire ou encore la quête d’une écriture qui fait la part belle à la lacune, au vide et au blanc.

En pratique

Entrée libre sur inscription préalable auprès de maud.lecacheuratuniv-grenoble-alpes.fr (Maud Lecacheur).

Visuel de la journée d'étude
© Hélène Gaudy

Contacts

maud.lecacheuratuniv-grenoble-alpes.fr (Maud Lecacheur)
marion.grangeatehess.fr (Marion Grange)
laurent.pagesatsorbonne-nouvelle.fr (Laurent Pagès)

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Julia Deck dialogue avec Ruth Rendell

Séminaire Centre CHARNIÈRES, Femmes d'hier - femmes d'aujourd'hui, Recherche Le 6 avril 2023
Complément date

17h30 - 19h30

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Langues et des Cultures
Salle Jacques Cartier

Le temps de cette séance, cette écrivaine du présent a choisi de redonner vie à cette écrivaine du passé, spécialiste des fictions criminelles.

« À mon âge, Ruth Rendell avait publié seize romans (moi, cinq). Elle me rendrait envieuse si elle ne me donnait de l'espoir – elle en publierait encore cinquante, sans compter les nouvelles. Or il faut compter les nouvelles, une partie essentielle de son travail. Ruth Rendell n'a pas écrit de fictions policières, elle a écrit des fictions criminelles. C'est-à-dire qu'elle s'est plus intéressée à la déviance que préoccupée de faire respecter la loi, triompher la justice. Ruth Rendell n'était pas insensible à la justice. Anoblie par la reine Elizabeth II, elle a longtemps siégé à la Chambre des Lords pour le Parti travailliste. En France, elle est connue comme autrice de genre, méconnue de ceux qui prisent la vraie littérature. Réparons cette injustice. »

Julia Deck est l'auteure de plusieurs romans, publiés chez Minuit : Viviane Élisabeth Fauville (2012), Sigma (2017), Propriété privée (2019), Monument national (2022).

Contact

Catherine.Marietteatuniv-grenoble-alpes.fr (Catherine Mariette)

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Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui

Centre CHARNIÈRES, Recherche

Ce séminaire proposé par CHARNIÈRES donne la parole à des femmes qui rendent compte de leurs pratiques créatives à travers la relation à une écrivaine du passé ou à un personnage romanesque féminin qui a compté pour elles.

L'idée est d’instaurer une conversation entre une femme d’aujourd’hui et une figure d’élection, disparue, qui ne se réduise pas à une forme d’intertextualité mais qui permette à la fois de se lire à la lumière d’une autre et de restituer une présence. La réflexion mettra l’accent non pas sur une herméneutique savante – interprétation ou explication de l’œuvre qui viendrait ajouter une autre pièce à la somme du savoir –, mais sur une relation, une compréhension, un usage. Ce lien, intellectuel, certes, mais aussi moral et affectif, permet à la lectrice-créatrice d’« unir les temps séparés » (Judith Schlanger, La Mémoire des œuvres, 2008, p. 133) et de se construire, dans un rapport de singularité et de familiarité avec une autre. 

Entre expérience et événement, lecture complice et invention de soi, ces écrivaines diront pourquoi « penser à quelqu’un » (Frédéric Worms, 2014) inspire des pratiques singulières, dans un dialogue qu’on peut dire imaginaire, à condition qu’on n’oppose pas imaginaire et réel. 

Il s’agira donc de répondre à une voix féminine essentielle pour soi – l’exercice d’admiration est sans doute à l’origine de ce dialogue –, de voir en quoi le fait qu’elle soit une femme importe, ou pas, de se situer dans une filiation, un héritage et pourquoi pas dans le sillage d’un modèle inspirant, reconnu ou plus clandestin. 

Ce « braconnage » (Michel de Certeau) dans la littérature du passé permettra peut-être de donner voix à des figures de femmes oubliées ou de relire les plus connues à travers une expérience et un élan nouveaux. Un livre, une voix, une parole suscitent d’autres livres, d’autres voix, d’autres paroles : c’est dans cette « circulation des signes » (Jacques Rancière, Le Partage du sensible, 2000, p. 57) que chaque femme sera librement invitée à entrer pour évoquer ses pratiques, reliées à sa vie de créatrice vivante. 

Séances 2023-2024

Séances 2022-2023

Séances 2021-2022

Séances 2019-2020

Séances 2018-2019

Séances 2017-2018

Séances 2016-2017

Séances 2015-2016

Séances 2014-2015

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catherine.marietteatuniv-grenoble-alpes.fr (Catherine Mariette)

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Moments de la philologie dantesque (XIXe-XXe siècle)

Séminaire Centre ISA, Recherche Le 31 mars 2023
Complément date

10h00 - 16h00

Complément lieu

Bâtiment Stendhal
Petite salle des colloques (aile G, 4e étage)

Ce séminaire proposé par ISA s’inscrit dans un cycle de conférences organisées dans le cadre du projet ANR PRC DHAF “Dante d’Hier à Aujourd’hui en France”, avec pour objectif d’interroger la réception de Dante en France et dans la francophonie.

Ses différents moments seront questionnés, notamment d’une part la réception érudite à travers les lectures historico-littéraires d’universitaires issus d’horizons variés, des littératures étrangères dix-huitièmistes à la philologie romane jusqu’aux études italiennes, d’autre part le mouvement, particulièrement actif en France, de l’allégorisme dantesque et des lectures ésotériques.

Contact

chiara.zambelliatuniv-grenoble-alpes.fr (Chiara Zambelli)

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Rencontres de l’Axe 1 - N° 3 ​: Corpus hétérogènes et “œuvres composites”

Conférence, Journée d'étude Axe 1, Recherche Le 8 juin 2023
Complément date

10h30 - 17h00

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Bâtiment Stendhal
Petite salle des colloques (aile G, 4e étage)

Ces rencontres, organisées avec le soutien de l'équipe ELAN, seront consacrées cette année aux « Corpus hétérogènes et “œuvres composites” ».

Dans le cadre de ces Rencontres de l’axe 1, nous avons le plaisir d’accueillir Anne Réach-Ngô (ILLE, université de Haute-Alsace-IUF). Sa conférence, « Éditer des “œuvres composites” : définitions, méthodes et enjeux », ouvrira une journée consacrée cette année à la question des corpus hétérogènes et aux méthodes de travail pour les appréhender.

En pratique

Cette journée est organisée en présentiel, mais un suivi à distance est possible :
Lien Zoom
– ID de réunion : 919 3177 9211
– Code secret : 325778

Visuel Rencontres Axe 1

Contact

delphine.gleizesatuniv-grenoble-alpes.fr (Delphine Gleizes)

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